Agir, s’engager, mesurer
Dans un contexte de transition écologique, économique et sociale, les entreprises de la filière publicité doivent désormais savoir mesurer et analyser leur empreinte et leurs impacts. Pour agir.
Depuis sa création en 1964, JCDecaux reste fidèle à la raison d’être voulue par son fondateur : offrir des services de proximité utiles à tous les citoyens sans peser sur les budgets des collectivités locales grâce au financement par la publicité. Notre modèle est trois fois vertueux, aux plans économique, sociétal et environnemental :
- Notre média est créateur de valeur et contribue puissamment au développement des territoires : plus d’un milliard d’euros a été investi en France par JCDecaux sur les 20 dernières années et 41% de la valeur créée en 2022 est reversée aux collectivités et aux mandants.
- Chez JCDecaux, nous sommes engagés depuis notre création en faveur du développement durable de notre entreprise. Dès l’origine, notre fondateur a décidé d’utiliser des matériaux recyclables, la fonte, l’acier, le verre… Depuis 20 ans, nos mobiliers sont nettoyés à l’eau de pluie collectée sur les toits des agences locales JCDecaux pour moins solliciter le réseau public. En 2013, pour comprendre pleinement notre empreinte, nous avons décidé de mener notre première analyse de matérialité.
Cette étape fondamentale nous a permis d’identifier clairement les leviers sur lesquels agir et d’élaborer nos feuilles de route. Et nous avons agi.
Entre 2019 et 2022 en France, nous avons ainsi réduit notre empreinte carbone de 31%, sur les scopes 1, 2 et 3.
Alors, quand la communication extérieure été injustement attaquée, nous avons dû réagir, et nous engager car nos efforts n’étaient pas perçus et insuffisamment connus. Non seulement les nôtres, ceux de JCDecaux, mais aussi ceux de nos confrères.
Après avoir agi silencieusement pendant toutes ces années, il nous fallait réagir. Avec la profession notamment. Pour faire parler les chiffres, les mesures… Et expliquer collectivement la réalité des consommations énergétiques et de l’empreinte carbone de la communication extérieure, au regard des autres médias.
Les preuves sont là : la communication extérieure représente seulement 0,4% de la consommation énergétique des TIC (Technologies de l’Information et de la Communication). Et, pour un même public touché par les messages publicitaires, la communication extérieure est la moins émettrice de gaz à effet de serre de tous les médias (source études KPMG Mars et Mai 2023).